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Warner Bros s'inspire-t-elle du roman "28 secondes en 2012" ?...

Psycho-drame dans l'ISS : Sandra Bullock et Georges Clooney joueraient bien dans la seconde 19 !


ISS : Station Spatiale Internationale, vitesse : 28.000 Km/h...
ISS : Station Spatiale Internationale, vitesse : 28.000 Km/h...

SECONDE 19 :

"ABONNISSONS NOS PHASES"

 
 
 
« Qu’est-ce que la vie, sinon une maladie de la fange originelle,
une purulence qui a pris naissance dans le premier humus
 pour culminer à travers d’innombrables cycles, distillations
et sédimentations diverses, par la manifestation humaine ? »
 
 Jack Vance - Le prince des étoiles
 
 
 
Les rayons du Soleil embrasaient la cupola de la Station spatiale internationale qui planait silencieusement dans la thermosphère, à six cent kilomètres d’altitude au-dessus de Mumbai. Équipé d’un hublot central rond entouré de six autres plus petits en forme de trapèze, le module d’observation était inondé de lumière solaire, rendant toute vision de la Planète bleue impossible, pour quelques secondes encore.
 
Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre... Dieu dit : « Que la lumière soit ! » Et la lumière fut.
 
Filant à vingt-huit mille kilomètres à l’heure dans un espace surchauffé à plus de mille degrés centigrades, l’ISS (International Space Station) pénétrait dans le puissant éclairage d’une nouvelle matinée terrestre, avant d’aller s’engouffrer dans le secteur obscur créé par l’éclipse solaire annulaire du 21 mai 2012. Tel un immense papillon argenté de cent-huit mètres de long, la plus grande structure humaine jamais assemblée dans l’espace déployait ses ailes de capteurs solaires de façon à récolter le maximum de photons, avant son immersion dans les ténèbres écliptiques.
 
 
Mais, piégée en orbite entre la force centrifuge qui la tirait vers le haut, et la gravité qui l’attirait vers le bas, l’ISS ne répondait plus, depuis déjà quelques minutes. L’ordinateur central avait en effet commencé par déconnecter toutes les liaisons avec la terre, puis il avait bloqué la plupart de ses accès aux tentatives de contrôle qui auraient pu provenir de l’équipage de la station. Il s’était mis en mode de fonctionnement autonome, utilisant désormais un nouveau langage informatique crypté incompréhensible, qui préservait les codes d’entrée ainsi que tous ceux des réglages de cet astronef du troisième millénaire.
 
- Ah ! T’es vraiment trop gentil ! Tu m’as laissé mon jeu de flipper 3D !
 
Les yeux protégés par une visière dorée, opaque aux rayons cosmiques afin de l’abriter des phosphènes pouvant gêner les astronautes, la Comandante Nina Consolienni pianotait sur le clavier incorporé dans la manche gauche de sa combinaison antimicrométéorites. Elle n’était pas en train de jouer à son jeu favori - au palmarès duquel elle apparaissait pourtant à la meilleure place -, mais elle profitait de la lumière du Soleil pour tenter de reprendre la main sur les commandes du vaisseau amiral terrien. Nina scrutait l’écran flexible qu’elle avait fixé avec une de ces bandes auto-aggripantes que l’on retrouvait partout dans la station en micropesanteur constante. D’origine italienne comme elle (de par son père), la cupola était le seul endroit de la station qui n’était pas plongé dans la pénombre depuis la panne inexplicable du cœur du processeur informatique. Planant les pieds en haut et les fesses collées aux hublots illuminés, la Comandante venait de s’adresser à l’ordinateur. Voilà que je radote comme le docteur Chandra avec le terminal HAL 9000, dans le film 2010 : l’année du premier contact, pensa Nina.
 
Une peur liquide coulait dans ses veines depuis quelques secondes. Un pressentiment impérieux la poussait subitement à rétablir les fonctions manuelles de la station, avant qu’ils ne pénètrent dans le terminateur de l’éclipse. Elle sentait qu’autrement quelque chose risquait de lui échapper, et elle n’avait jamais bien supporté ce genre d’idée. Il lui fallait absolument toujours rester maître de la situation. D’autant qu’elle était toute proche de battre le record de longévité dans l’espace ; ce n’était donc pas le moment d’envisager une éventuelle évacuation d’urgence. Elle était en effet à soixante-douze heures des quatre cent trente-huit jours en orbite qu’elle devait effectuer d’affilée pour faire mieux que le Russe Valeri Polyakov, qui avait quant à lui effectué plus de sept mille révolutions autour de la Terre en 1995, soit l’équivalent d’une distance de deux années-lumière.
 
- H moins dix minutes avant le terminateur lunaire, fit la voix du docteur Konokov depuis le module du laboratoire américain Destiny, comme pour faire écho à son angoisse.
 
Le terminateur ! Quelle affreuse trouvaille que ce mot qui lui évoquait la barbarie, pour décrire un des plus magnifiques phénomènes célestes, s’insurgea intérieurement Nina. Elle était si belle cette ligne mouvante qui, sous l’influence lumineuse d’une étoile, marquait la frontière entre les zones éclairées et non éclairées d’une planète… On aurait plutôt dû l’appeler le créateur ! se dit-elle. Car du point de vue de Nina, il annonçait davantage l’arrivée d’un nouveau cycle que sa fin. Et puis, il est par exemple plus aisé et agréable d’observer le relief de la Lune d’un point du terminateur, car la lumière du Soleil y est rasante. C’est aussi lui qui galope indéfiniment, deux fois par cycle circadien, à la surface de la Terre, annonçant le lever du jour et donc celui du Soleil, puis celui de la nuit et de la Lune. Et les astronautes en orbite dans les stations spatiales essaient de ne pas manquer ce spectacle d’une beauté mystérieuse et stupéfiante - même pour n’y jeter qu’un coup d’œil rapide -, cet événement hypnotisant littéralement, au moins dans les premiers temps, tous ses observateurs.
 
Dieu vit que la lumière était bonne ; et Dieu sépara la lumière d’avec les ténèbres…
 
C’est au moment où le fabuleux lépidoptère spatial de quatre cent cinquante tonnes avait survolé le terminateur avant-coureur du jour sur l’Inde que tous les appareils du bord s’étaient bloqués. Les lumières, les systèmes de mesure, les moyens de communication, les commandes de contrôle des réacteurs et des panneaux solaires - ainsi que toutes les expériences en cours - ne répondaient depuis lors à aucune des sollicitations des trois membres de l’équipage.

à suivre...

Tapis volant cosmique...
Tapis volant cosmique...
 Yoshi faisait du tapis volant dans le grand module Kibo - espoir, en Japonais -, au moment où l’électricité avait été coupée. Devant une webcam, il s’adonnait à quelques-unes des expériences sélectionnées parmi le millier que les internautes japonais avaient proposé lors d’un concours organisé par la JAXA, l’agence spatiale nippone. On lui avait tour à tour réclamé de faire un nœud de cravate, se couper les ongles et récupérer ensuite les résidus qui flotteraient autour de lui (ce qu’il trouvait vraiment dégoûtant !), et enfin simuler un vol sur tapis, autant de choses originales ou délicates à effectuer en micropesanteur ! Et puis… un terminateur d’obscurité artificielle avait soudainement pénétré la station, ne laissant pour toute clarté que celle des diodes phosphorescentes de secours qui tapissaient les parois du vaisseau.
 
Colorées par des rubans adhésifs depuis la commémoration de la Nativité par l’équipe précédente qui avait voulu donner un air de fête au vaisseau spatial pour l’occasion, ces diodes lui conféraient à présent l’allure d’un sapin de Noël surréaliste. Long de onze mètres pour plus de quatre mètres de diamètre, le JEM (Japanese Experiment Module) était le fruit de vingt ans de recherche et pouvait accueillir vingt-huit racks d’instruments normalisés ; l’ingénieur y avait terminé sa course en tapis volant dans les commandes du SMILE, le sondeur submillimétrique qui étudiait la composition de la stratosphère.
 
 
Nina Consolienni tapa nerveusement sur les touches Control Alt Suppr de son clavier : elle ne comprenait pas un mot des symboles qui défilaient sur son écran. S’agissait-il d’un virus informatique ? Elle sentit son pouls s’accélérer. Comment l’ordinateur sécurisé le plus puissant de toute l’histoire de l’aérospatiale pouvait-il ainsi bugger ? Et surtout, était-il possible qu’elle, la surdouée des promotions, n’arrive pas à circonscrire la panne ? Pour la première fois de sa vie, elle douta de ses capacités à résoudre un problème, ce qui la mit très en colère.
 
La lumière se fit moins violente et la Comandante ôta ses lunettes protectrices. La station pivotait légèrement. Des gouttes de sueur commençaient à se détacher de ses tempes, s’envolant dans l’habitacle comme de lilliputiennes perles liquides ivres de liberté gravitationnelle. Elle avait chaud ! Elle tourna légèrement la tête pour contempler l’espace au-delà des hublots, et reconnut l’océan Pacifique qui se détachait des côtes chinoises ; et, plus au nord, la Russie et le Japon, dans la frontière de l’ombre de l’éclipse qui avançait vers elle, dans le sens inverse de celui de la rotation de la Terre. Elle sentit alors dans l’air comme un fumet de steak grillé artificiel, un morceau de viande qui aurait cuit sur de l’aluminium, ou quelque chose de métallique.
 
Une douleur fulgurante déchira soudainement son bas-ventre.
 
- Oh non ! Pas maintenant ! lâcha-t-elle entre ses dents serrées, grimaçant sous un nouveau coup de poignard.
 
- H moins sept minutes, fit la voix de Youri, croyant qu’on le questionnait.
 
Dieu dit : « Qu’il y ait une étendue entre les eaux, et qu’elle sépare les eaux d’avec les eaux… » Et cela fut ainsi. Dieu appela l’étendue ciel.
 

(...)

L’ERA-2 (European Robotic Arm)
L’ERA-2 (European Robotic Arm)
- Tu crois que c’est dangereux ? Les yeux de Nina réclamaient une réponse franche de la part de Youri.
 
- En tout cas, ça n’a pas l’air d’être acide comme la bave d’Alien, le prédateur de la saga hollywoodienne. Le verre est intact ! Il y avait une trace d’humour dans la mimique horrible que venait de faire le médecin russe pour imiter le monstre célèbre, mais aucun des deux n’avait le cœur à rire.
 
- Écoute, j’ai une idée : je vais essayer d’en récolter un échantillon avec le bras manipulateur, et après, je l’analyse… comme ça on en aura le cœur net !
 
- Oh non ! j’aime pas ça Youri… Nina secouait la tête de droite à gauche. J’aime pas cette idée du tout ! Tu sais bien, c’est chaque fois comme ça que tous les membres de l’équipage se font éliminer dans les livres de science-fiction ! Faut jamais rien ramener à bord !
 
- Oui, eh bien la différence, c’est qu’on n’est pas dans un bouquin de science-fiction, là. On n’en ferait même pas une mauvaise BD de magazine américain pour lycéen attardé, de notre histoire ! Allez, désolé, mais ça fait partie de mon boulot, ça. J’ai même suivi une formation spéciale pour ce genre d’événement, tu le sais. Youri était passé d’une attitude compatissant à un style plus autoritaire. Il était inutile d’essayer de le détourner de son idée de prélèvement et d’examens.
 
- OK, je t’aide… Mais au premier signe d’agressivité, on relance cette merde vers le Soleil, et ça, c’est mon boulot de Comandante du vaisseau ! On est bien d’accord ? Les yeux noirs de Nina ne laissaient pas non plus la place à la contestation.
 
Youri sourit. Il avait retrouvé son chef d’équipage. Il glissa sa main sur la joue de Nina et, tout en la caressant avec douceur, il lâcha :
 
- Message très bien reçu mon Commandant ! Et il l’embrassa dans le cou. Ne t’en fais pas, tout va bien se passer tu vas voir, chuchota-t-il contre la peau mate qui frissonna sous l’effet de l’agréable excitation épidermique.
 
Dieu vit que cela était bon. Dieu les bénit, en disant : « Soyez féconds, multipliez, et remplissez les eaux des mers ; et que les oiseaux multiplient sur la terre… »
 
- Yoshiii ! On a besoin d’aide ici, s’il te plaît !
 

(...)

La Cupola (vue de l'extérieur...) "Un œil monstrueux la fixait à travers le hublot central..."
La Cupola (vue de l'extérieur...) "Un œil monstrueux la fixait à travers le hublot central..."
Le bras métallique avait été stabilisé, et une de ses deux mains surplombait à présent la coupole, approchant une aiguille vers le mucus, à quelques centimètres de la tête du docteur, de l’autre côté de la paroi de verre. Youri ne devait pas trembler : l’opération ne durerait que quelques secondes, mais elle nécessitait une précision extrême. Nina voyait maintenant le visage de son équipier sur un de ses écrans. Il apparaissait flou, filmé à travers le mucus et le verre de la cupola par la caméra de la main robotique. Tout doucement, l’aiguille pénétra dans la substance inconnue. Quelques millimètres suffisaient. Youri tracta le piston virtuel qui commandait celui, bien réel, qui était logé dans la seringue de prélèvements de l’ERA-2, et trois centimètres cubes de matière furent aspirés dans la chambre stérile de l’instrument.
 
- Parfait ! Tourne un peu le bras maintenant pour que je réinjecte ça dans le sas d’analyse. Youri s’était mis à transpirer ; la chaleur avait encore augmenté dans la station, et les effluves de chair grillée s’accentuaient eux aussi. Mais il était soulagé, aucun alien n’avait bondi hors du crachat galactique quand il l’avait transpercé. Ils pouvaient se détendre, et même se réjouir, ils étaient certainement à la veille d’une grande découverte pour l’humanité. Peut-être la preuve d’une existence de vie primitive qui se cacherait dans des débris de météorites ou de comètes.
 
Dieu dit : « Que la terre produise des animaux vivants selon leur espèce, du bétail, des reptiles de la terre selon leur espèce. » Dieu vit que cela était bon…
 
À l’extérieur de la station, une aiguille pivota au bout d’un bras manipulateur pour s’orienter vers une capsule de prélèvement, incrustée dans la paroi de l’ISS.

(...)

"Mais pourquoi ne fonce-t-elle pas vers la Terre, pour se consumer intégralement dans l’atmosphère comme les autres ? se demande-t-elle."
"Mais pourquoi ne fonce-t-elle pas vers la Terre, pour se consumer intégralement dans l’atmosphère comme les autres ? se demande-t-elle."
Nina enregistre alors le code de mise à feu des moteurs d’éjection et appuie une fois de plus sur Enter. Un nouveau hurlement se fait entendre, puis cesse soudainement alors que l’HTV se détache de l’ISS, dans un ralenti qui s’accélère d’un seul coup, comme dans ces récents films d’action dans lesquels les monteurs s’amusent à alterner des arrêts sur images et de subites accélérations. Nina contemple la petite capsule opaline qui disparaît… vers la Lune.

(...)
 


"Autour de la Station spatiale internationale, une pluie d’œufs extra-terrestres, entourés d’un cocon de mucus protecteur, vole vers la Terre… "
"Autour de la Station spatiale internationale, une pluie d’œufs extra-terrestres, entourés d’un cocon de mucus protecteur, vole vers la Terre… "
Nina se reprend, elle doit monter très rapidement à bord de la capsule de secours et quitter l’ISS, car cette dernière est désormais par trop polluée ; les agences spatiales enverront une équipe de décontamination… Et tout en se préparant au départ, après avoir enregistré un compte-rendu sommaire des derniers troubles ayant révolutionné la station, la responsable de la mission réalise avec plaisir et soulagement qu’elle se moque complètement de ne pas battre le record de Valeri Polyakov, même étant si proche de la victoire. Après plus d’un an passé dans l’espace, il est temps pour elle de rentrer à la maison ; elle est vivante, et c’est bien plus important que d’avoir son nom dans les manuels d’histoire…
 
En jetant un dernier regard à l’extérieur, Nina s’aperçoit que la Terre semble se réjouir. Délimité par des terminateurs de matin, de soir, et d’éclipse, un immense sourire lumineux prend en effet naissance en Russie, balaye la Chine et le Japon, l’Asie du Sud-Est et l’Australie, la Nouvelle-Zélande, la Nouvelle-Calédonie et le Pacifique Sud-Est, avant de remonter vers l’Amérique centrale, les États-Unis et le Canada, pour mourir à l’est du Groenland. Pendant quelques magiques secondes, la Lune et le Soleil s’amusent avec la Planète Bleue !

(...)

Warner Bros s'inspire-t-elle du roman "28 secondes en 2012" ?...
Quelle belle femme, ne put s’empêcher de penser Youri en la regardant positionner un protège-slip au fond d’un boxer-short propre en coton. Peut-être oserait-il bientôt lui proposer de réaliser son plus grand fantasme : faire l’amour en quasi-apesanteur… Quand tout ceci serait réglé bien sûr ! Après tout, il leur restait encore un mois et demi à vivre dans l’ISS avant la relève… Il lui fallait juste faire en sorte qu’elle ait l’impression que l’envie venait d’elle, car elle avait un caractère si directif… Nina releva la tête et enfila à la va-vite un débardeur assorti sur lequel figurait une petite feuille d’érable rouge, symbole du Canada. Ses tétons pointaient en dessous. Elle l’observa un bref instant. C’était agréable de pouvoir ainsi confier son intimité à un homme, comme si c’était une vieille copine de fac, sans gêne ni sentiment de honte. Youri avait des yeux slaves bleus et profonds d’où émanait une grande affection pour son prochain. Elle le trouvait désirable.
 
- Merci, fit-elle en l’embrassant brièvement sur le coin de la bouche. Je me sens déjà mieux. Et elle fila en se tortillant vers le sas de lumière de la cupola. Viens, suis-moi, ajouta-t-elle sans se retourner. Il faut absolument qu’on reprenne le contrôle de cet engin !
 
- Oui, répondit-il. Je veux juste vérifier que les systèmes de purification d’air sont toujours opérationnels, je trouve qu’il fait vraiment de plus en plus chaud. Et puis, ajouta-t-il en fronçant le nez, ça sent un petit peu le roussi depuis tout à l’heure. Il ne faut pas attendre pour inspecter ça… Je te rejoins dans cinq minutes.

(...)

Le très attendu nouveau film d'Alfonso Cuarón transforme l'espace en lieu métaphorique de la vie et la mort, à travers l'incroyable odyssée d'une seule femme. Une épopée SF puissante et belle.
Le très attendu nouveau film d'Alfonso Cuarón transforme l'espace en lieu métaphorique de la vie et la mort, à travers l'incroyable odyssée d'une seule femme. Une épopée SF puissante et belle.

Gravity est le support d’une action métaphorique du deuil et de la renaissance, la seconde 19 de "28 secondes en 2012" aussi...
 

Gravity, lieu de gestation, porte en son sein une mère qui se retrouve elle-même en quête maternelle. Nina, dans la seconde 19, également...

Dans Gravity, l'odyssée solitaire se transforme en parcours initiatique et le combat acharné de survie, en renaissance au monde, idem dans la seconde 19...

J'ai écrit ce chapitre au début de l'année 2011... Clairvoyance ou hasard, à vous de voir ;-)


Roman "28 secondes en 2012" - Tome 2 - Secondes 15 à 28...
Roman "28 secondes en 2012" - Tome 2 - Secondes 15 à 28...




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Yann Yoro - Auteur du livre évènement "28 SECONDES en 2012"

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